jeudi, octobre 17, 2024

La journée du 22 octobre 2022 a été ponctuée par le tirage au sort des groupes, en vue de la neuvième (9e) édition de la Coupe du Monde féminine Australie/Nouvelle-Zélande (20 juillet- 20 août 2023). Les sélections africaines ont été toutes fixées sur leurs potentiels adversaires, cas du Cameroun et du Sénégal (barragistes dès février prochain), au contraire des quatre (4) autres (Afrique du Sud, Maroc, Zambie et Nigéria) qui avaient obtenu leurs qualifications directes, lors de la Can qui s’était tenue au Maroc au mois de juillet dernier.

Ainsi, l’on retrouvera :
Groupe B ; Australie (13e mondial), Canada (7e), Irlande (24e) et Nigéria (45e).
Groupe C ; Espagne (6e), Japon (11e), Costa Rica (37e) et Zambie (81e).
Groupe D ; Angleterre (4e), Chine (15e), Danemark (18e), Sénégal (84e)/Haïti (56)/Chili (38e).
Groupe E ; Usa (1er), Pays-Bas (8e), Vietnam (34e), Cameroun (58e)/Thaïlande (45e)/Portugal (23e).
Groupe G ; Suède (2e), Italie (14e), Argentine (29e) et Afrique du Sud (54e).
Groupe H ; Allemagne (3e), Corée du Sud (13e), Colombie (27e) et Maroc (76e).

La confirmation d’outsiders des africaines se justifie par le classement Fifa du 13 octobre 2022.
Cette situation ne devrait pas faire des africaines, vaincues à l’avance ou futures perdantes à priori. Car, lors de la huitième (8e) édition de 2019 en France, le Cameroun et le Nigéria avaient atteint les huitièmes de finale.

Ce fut un fait inédit pour deux (2) sélections africaines, qu’elles soient rendues simultanément à ce niveau de compétition. C’est dire, qu’en dépit du tirage au sort peu favorable aux africaines, elles devront rester tout de même engagées à la succession des Usa, ceci sans complexe et avec assurance à pousser plus loin, que la performance de France 2019…

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