mercredi, octobre 16, 2024

La journée mondiale de l’environnement, se célèbre ce mercredi 05 juin 2024, à travers le monde entier. L’Afrique est concernée par ces questions écologiques, qui font grincer les dents au sein des opinions. Quel regard doit-t-on porter sur cette problématique cruciale, en rapport avec le football ?



Des axes essentiels sont à intégrer dans le cadre de cette réflexion.

* Le thème de cette journée mondiale de l’environnement 2024.

Il s’articule autour des aspects environnementaux perceptibles au moindre regard.
Des termes suffisamment éloquents touchent la sensibilité humaine, au point d’interroger l’urgence d’une remise en question immédiate.

Elle est indispensable en ce moment révélateur, sur la base des intérêts majeurs à venir :
« La restauration des terres, la désertification et la résilience à la sécheresse. »
L’image d’une possession perdue, dont l’état actuel dicte le retour à de bonnes convenances. Voilà, ce qu’il en est au fond de la question du jour.

* Les Généralités
Elles s’articulent essentiellement sur des points considérables :

cette énième sonnette d’alarme est une fois de plus à l’ordre du jour, selon les axes essentiels du thème évoqué ci-dessus.
Cette situation perdure, au point de susciter de nombreuses inquiétudes à l’ensemble de l’humanité. Sans oublier les activités, qui vraisemblablement ont cours au quotidien. Rien n’est plus à démontrer dans un sens particulier, si ce n’est la folle envie de mettre un terme à ces inquiétudes justifiées ;

Les enjeux dans ce contexte sont suffisamment ébranlés par un jeu décousu de pertes et de gains. Les activités humaines dont fait partie le football prennent un sévère coup de fouet.
Le retour prononcé à un bel équilibre est la règle cardinale en ces temps difficiles. Sinon, on ira de dérive en dérive au grand regret des conséquences multiples.

Il n’y a pas de problème sans solution. Les pollutions affectent réellement les acteurs du football. Les matières premières utilisées dans la construction d’infrastructures s’épuisent à fond. Ceci, sans que l’on ne songe un tant soit peu aux générations futures.


En épuisant considérablement toutes ces richesses naturelles pour nous uniquement ; les générations actuelles. Est-ce là, une attitude responsable et clairement justifiée ?
À cette interrogation expressive, la réponse est logiquement négative.
La quête de solutions louables et efficaces demeure essentielle à la survie effective de l’ensemble des humains sans discrimination aucune. Les liens du passé, du présent et du futur ne doivent pas être rompus par une génération. Il y a un héritage naturel à préserver absolument ;

* Les objectifs d’une pareille journée visent proprement la sensibilisation profonde.

Ce point est riche en enseignements. Il suffit de mieux écouter la voix intérieure qui nous parle, pour en mesurer la portée réelle.
La question du jour reviendrait à se dire, pour quoi de telles actions de mise en garde ?
Cette forte mobilisation doit unir les pensées et les actions conjointement, pour un gain collectif.

En mémoire, les trois (3) écologies qui marquent depuis quelques décennies l’histoire de cette journée, demeurent d’actualité sans détour de langage.
La mise à jour de l’écologie sociale, environnementale et mentale fait craindre le pire, au cas où des actions suffisamment fortes n’entreraient pas en jeu sans délai.

Au plus fort de cette détresse, l’écologie mentale semble au cœur des préoccupations de l’heure. D’autant, que le mal est si profond. Il suffirait simplement, qu’on revenienne à des principes de base. Ceci, pour amorcer un début effectif de solution durable.
De manière concrète, l’écologie mentale s’intéresse aux changements mentaux, imaginaires, subjectifs, problématiques…sont à l’origine de cette distanciation actuelle. Celle qui met en opposition l’homme à la nature.



Aujourd’hui plus que jamais, la question de fond est le type de changement à opérer, pour rompre avec cette mauvaise tendance. Aux fins remarquables, qu’il en soit autrement ?

À la clé se trouvent les fondements psychologiques. Ils justifient la destruction, la dégradation de l’environnement.
Aussi vrai, qu’il faut absolument réfléchir sur comment le protéger, pour mettre un frein à toutes ces malfaçons ?

Dans ce cadre bien précis, le football est concerné par ces bouleversements contre nature.
Peut-t-on sans fausse note, jouer au football dans un tel environnement inconvenant, sans que cela ne fasse aucun mal à l’activité et aux acteurs ?

Tout part effectivement de cette problématique qui inquiète au fil des jours. C’est un grave danger pour la survie collective de l’humanité.
Lorsqu’on apprend : « Il y a une écologie des mauvaises idées, comme il y a une écologie des mauvaises herbes« , dit tout sur les réalités actuelles.
Cette réaction intelligente en direction de tous, est d’une pertinence remarquable, irréprochable, indiscutable. Elle attire davantage les esprits, vers ce qu’il y a de plus équilibré, empêche les risques et périls sur ces exagérations en cours.


Pour terminer, les perturbations écologiques de l’environnement ne sont pas une bonne chose. Le mal est ainsi profond pour l’humanité. Les activités liées au football n’en sont pas épargnées, puisqu’elles n’échappent pas à cette problématique troublante. Au bout du compte, on devrait ensemble, projeter le regard sur l’héritage, à léguer aux générations futures ?…

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